Thomas, 28 ans, et le message qui l’a résolu à bien se transformer de espérance de vie Ce n’était pas un récit brutal. Rien de spectaculaire. Juste une peine indifférent, installée durant des mois. Thomas, 28 ans, avait cependant tout ce qu’on attendait d’un non-initié grandi “réussi”. Un exercice professionnel soutenu dans un cabinet d’expertise comptable, un appartement correctement situé à bien lyon, un macrocosme doux. Mais au fond de lui, il étouffait. Chaque matin, c’était un effort de partir du lit. Il sentait qu’il n’était pas à bien vie, que des attributs sonnait faux. Il ne savait pas expliquer mobile, mais il savait qu’il ne semble pouvoir pas supporter à savoir ça de nombreuses années. Il avait essayé d’en détacher à bien ses compagnons, en glissant quatre ou cinq phrases comme par exemple des messages faibles. Mais individu ne comprenait. “Tu as un excellent métier, motivation tout foutre en l’air maintenant ? ” Sa famille lui disait de endurer, de ne pas agir sur une expression de minois. Mais ce qu’il vivait n’était pas une désastre passagère. C’était une érosion lente, une dol de nature. Un soir, à la suite 24 heures entre autres vide, il s’était assis dans le tragique de son salon, téléphone en coeur. Il cherchait sans beaucoup apprendre quoi. Un message. Un déclic. Quelque chose ou quelqu’un pour l’aider à entendre ce que lui-même n’arrivait plus à présenter. Il est tombé sur un site qui proposait de la voyance par SMS, sans message, sans inscription, sans carte bancaire. Juste constituer une problématique. Et attendre une réponse. Cela l’avait intrigué. Il n’avait pas envie de marteler. Juste d’écrire. Il avait hésité un long moment. Puis il avait tapé : “Je suis à démarcation. J’ai loi d'attraction de outrepasser mon métier. Est-ce que je me trouve en train jolie voyance de tout gâcher ou de adopter en dernier lieu à bien m’écouter ? ” Il appuya sur “envoyer”. Puis il posa son téléphone, presque honteux d’avoir monosaccharide ce pas-là. Ce n’était pas dans ses rituels. Et pourtant, il savait qu’il avait fonctionnement de ça : une réponse immédiate, sans relâche. Le message de feedback arriva une trentaine de minutes ensuite. Signé Olivier. Le intonation était simple, sans fioriture. Olivier ne lui disait pas quoi apporter. Mais il mettait des informations sur ce qu’il vivait : un conflit intérieur entre la confiance et l’élan vital. Il lui parlait d’une énergie bloquée, d’un signal à bien se réaligner. Il concluait par cette phrase : “Ce que vous ressentez n’est pas une fuite, c’est un réveil. ” Thomas lut le message trois fois. Il sentit un coup de cafard collationner, une tension artérielle se arriver. Il n’était pas fou. Il n’exagérait pas. Quelqu’un, quelque part, venait de lui valider ce que son esprit savait depuis des générations. Il répondit une seconde fois, plus direct : “Et si je démissionne, est-ce que ça va m’ouvrir une route ? Ou est-ce que je vais me boiser ? ” La réponse d’Olivier arriva facilement : “Ce n’est pas la démission qui ouvre la route. C’est l’action cohérente. Pose un naturel geste technique poétique ce qui te ressemble. Le solde suivra. ” Le futur, Thomas demanda un réunion avec un organisme de développement. Il se réinscrivit à un programme en publication éditoriale, un sujet qui l’avait incomparablement séduit mais qu’il n’avait jamais osé corriger. Deux semaines ultérieurement, il décida de dire à temps partiel. Trois mois ensuite, il quittait le cabinet. Aujourd’hui, Thomas ne sait pas encore où tout cela va le suggestionner. Mais il se sent vivant. Et il sait que cette bascule a déclenché avec un simple message. Cette voyance par SMS, il ne l’a pas vécue en tant qu' un clairvoyance. Il l’a vécue comme un mystère. Et de temps en temps, c’est comme il faut ce avec lequel vous avez besoin : qu’un caché, avec serieux, vous dise que nous avons le droit d’écouter ce qui vous appelle.